Dans un contexte politique difficile et face aux enjeux électoraux que nous connaissons actuellement, je mesure la difficulté de parler de ce second tour de l’élection présidentielle entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, sans froisser les susceptibilités de chacun, surtout des électeurs de gauche. Facebook et Twitter sont inondés de prises à partie, de coups de cœur, de coups de gueule et de règlements de compte virtuels depuis plusieurs semaines. Y échapper est devenu un parcours du combattant. Et pourtant face à l’issue de plus en plus incertaine de ce scrutin, il me semble important de ne pas laisser faire les choses. Peu importe nos convictions et nos valeurs. Je me remémore constamment les nombreux cours d’économie, d’histoire et d’éducation civique que j’ai pu étudier ainsi que nombre de livres que j’ai lus. Je repense à ces luttes, ouvrières, féministes, politiques ou encore sociales qui ont façonné notre pays pour en faire une démocratie et une République. Les temps sombres du fascisme et du nazisme ne sont pas si lointains et une large partie Une certaine image de la France
Dans un contexte politique difficile et face aux enjeux électoraux que nous connaissons actuellement, je mesure la difficulté de parler de ce second tour de l’élection présidentielle entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, sans froisser les susceptibilités de chacun, surtout des électeurs de gauche. Facebook et Twitter sont inondés de prises à partie, de coups de cœur, de coups de gueule et de règlements de compte virtuels depuis plusieurs semaines. Y échapper est devenu un parcours du combattant. Et pourtant face à l’issue de plus en plus incertaine de ce scrutin, il me semble important de ne pas laisser faire les choses. Peu importe nos convictions et nos valeurs. Je me remémore constamment les nombreux cours d’économie, d’histoire et d’éducation civique que j’ai pu étudier ainsi que nombre de livres que j’ai lus. Je repense à ces luttes, ouvrières, féministes, politiques ou encore sociales qui ont façonné notre pays pour en faire une démocratie et une République. Les temps sombres du fascisme et du nazisme ne sont pas si lointains et une large partie
Nous ne sommes pourtant qu’à 5 mois de l’élection présidentielle et je frôle presque l’overdose d’hommes et de femmes politiques à la télévision, dans les journaux ou encore à la radio. Et pourtant, j’avoue que je suis allé participer, presque joyeusement, à la primaire de droite et du centre. Oui, je l’avoue. Moi, l’électeur de gauche qui n’a jamais rien glissé d’autres dans les urnes que le nom d’un candidat ou d’une candidate du Parti socialiste ou d’Europe Écologie, je suis allé glisser un bulletin pour Nathalie Kosciusko-Morizet au 1er tour et pour Alain Juppé au 2ème tour. Tu me demanderas : « À quoi bon ? Tous les mêmes« . Pourquoi avoir été enrichir les Républicains de 4 euros, soit plus de 26 pains au chocolat made in Jean-François Copé ? Tout simplement parce que le programme de François Fillon est une hérésie à mes yeux, pour la France, mais aussi pour mes valeurs. 100 milliards d’euros d’économies sur la durée du quinquennat tout en promettant 40 milliards d’euros de baisses d’impôts aux 

Depuis des mois, l’Europe s’enlise dans un débat sans fin sur la crise des réfugiés. Même l’Allemagne, représentée par Angela Merkel, qui avait décidé d’accueillir à bras ouverts l’ensemble des demandeurs d’asile semble faire marche arrière, notamment suite aux récentes et nombreuses agressions de femmes dans plusieurs villes du pays. La situation est également hors de contrôle en Grèce, où j’ai pu constater par moi-même, dès le mois de janvier dans les rues d’Athènes, que ce pays déjà durement touché par la crise économique et la crise de sa dette, n’arrive plus à faire face à l’ampleur du phénomène. Même son de cloche en France et dans les rues de Paris, où l’hiver n’effraie pas certains de dormir sur les trottoirs de la capitale. Pendant ce temps là, dans les bureaux et hémicycles surchauffés de l’Union européenne, aucun pays ne veut s’engager à laisser ses frontières ouvertes, sur fond de craintes de débordements et troubles à l’ordre public, d’urgence sanitaire mais aussi par peur de possibles retours d’islamistes radicaux. L’aide d’urgence est finalement débloquée en 
La plupart d’entre nous a déjà vécu la fâcheuse aventure qui consiste à découvrir un aliment en état de décomposition dans son réfrigérateur. Mais le fait est qu’il s’agit d’une épreuve encore plus désagréable quand on le constate dans les rayons de son supermarché habituel. Le fromage râpé encore consommable pendant 25 jours qui affiche déjà une jolie couleur bleu-vert, la viande qui semble partager un point commun avec le nom de la Première dame de France ou encore certains fruits qui offrent une qualité inversement proportionnelle à leur prix de vente qui frise actuellement des records sur les étals. Loin de moi l’envie de stigmatiser une enseigne en particulier je dois quand même bien avouer que les problèmes de rupture de chaîne du froid semblent de plus en plus fréquents. A vrai dire que sais-tu réellement sur ce que nous mangeons ? Le débat semble relancé après une certaine accalmie qui avait suivi des années de méfiance, suite aux scandales alimentaires de la vache folle, du poulet à la dioxine ou encore du poisson 
Notre « cher » président et sa clique gouvernementale ne passent généralement pas une seule semaine sans commettre un impair majeur dans leurs actions. Déjà sous la présidence de Jacques Chirac, un certain Hervé Gaymard avait été épinglé pour la coquette somme dépensée dans la location d’un somptueux appartement de 600 m² au cœur de Paris, aux frais de l’État, bien entendu. Suite à l’élection de Nicolas Sarkozy, le ton avait été donné dès l’annonce des résultats. Un dîner sur les Champs-Élysées en compagnie d’une jolie collection des plus grandes fortunes du CAC40, parmi lesquelles apparaissaient Bernard Arnault, Martin Bouygues, Serge Dassault, Vincent Bolloré, Jean-Claude Decaux et beaucoup d’autres. Les années passant, les scandales se sont accumulés, faisant grand bruit dans la presse, à la télévision mais aussi et surtout sur Internet. Les relations entre un ministre et sa femme – et plus largement d’un parti politique – avec l’héritière du groupe L’Oréal, l’achat de cigares par Christian Blanc grâce aux impôts des contribuables ou plus récemment encore l’utilisation de deux avions de ligne présidentiels
Le réseau de transports en commun de la capitale belge est extrêmement mal adapté pour une ville qui compte moins d’habitants que Paris mais sur un territoire beaucoup plus vaste. Le faible nombre de lignes de métro ne fait qu’accentuer les problèmes. Aux heures de pointe, les bus se retrouvent coincés dans les embouteillages, les tramways sont eux aussi souvent bloqués par des voitures empiétant sur leurs voies et la régularité et la fréquence des transports est catastrophique d’une manière générale. Demandez un peu à quelques utilisateurs combien de temps ils ont pu attendre un tram, un métro ou un bus ? J’espère que les politiques belges auront la décence de voter massivement la construction rapide de nouvelles lignes de métro surtout sur un axe Nord-Sud, mais aussi une autre ligne de rocade sur la Grande Ceinture, sans oublier que la STIB devrait améliorer radicalement les fréquences des différents moyens de transports et repenser totalement sa communication qui ne mérite rien d’autre qu’un zéro pointé. Forcez un peu les Belges à abandonner leurs voitures et 
