De tout temps, l’homme a cherché à comprendre son environnement – en toute légitimité bien sûr – et à répondre à plusieurs questions inexplicables ou bien toujours inexpliquées, même aujourd’hui. Son ascendance, l’origine du monde qui l’entoure et même celle de notre galaxie et la possible existence d’une vie après la mort, ont trouvé des réponses dans des théories religieuses dont découle un certain nombre de croyances plus ou moins connues. Au cœur de la jungle d’Amérique Centrale, les civilisations maya et aztèque interprétaient les éclipses de soleil comme la manifestation du pouvoir divin pour annoncer la fin du monde. Au Moyen-Age, l’Église catholique assurait la population que la Terre était au centre de l’univers et que par conséquent l’homme l’était lui aussi. Monumentale erreur corrigée par Galilée et Copernic, génies scientifiques persécutés de leur vivant pour leurs idées « sataniques ». Puis arriva Charles Darwin, qui osa remettre en question l’origine même de l’homme en publiant la théorie de l’évolution des espèces. L’homme ne descendait absolument plus d’Adam et Eve mais il était bel Une histoire de Dieux
De tout temps, l’homme a cherché à comprendre son environnement – en toute légitimité bien sûr – et à répondre à plusieurs questions inexplicables ou bien toujours inexpliquées, même aujourd’hui. Son ascendance, l’origine du monde qui l’entoure et même celle de notre galaxie et la possible existence d’une vie après la mort, ont trouvé des réponses dans des théories religieuses dont découle un certain nombre de croyances plus ou moins connues. Au cœur de la jungle d’Amérique Centrale, les civilisations maya et aztèque interprétaient les éclipses de soleil comme la manifestation du pouvoir divin pour annoncer la fin du monde. Au Moyen-Age, l’Église catholique assurait la population que la Terre était au centre de l’univers et que par conséquent l’homme l’était lui aussi. Monumentale erreur corrigée par Galilée et Copernic, génies scientifiques persécutés de leur vivant pour leurs idées « sataniques ». Puis arriva Charles Darwin, qui osa remettre en question l’origine même de l’homme en publiant la théorie de l’évolution des espèces. L’homme ne descendait absolument plus d’Adam et Eve mais il était bel 
Aujourd’hui, je me suis réveillé vers midi comme à l’accoutumée lorsque je n’ai pas cours. La journée ne s’annonçait pas pire qu’une autre, mais ne serait nullement supérieure à une autre. Il y a des jours comme ça où on préfèrerait rester caché sous sa couette plutôt que de devoir se lever, passer du temps dans la salle de bain puis s’habiller et voir des gens dans la rue qui, sitôt t’auront aperçu, t’oublieront. Ces instants où même la mélodie qui te plaisait tant hier t’énerve, où le jus d’orange que tu bois n’a aucune saveur particulière et où l’on mange sans trop savoir pourquoi, plus pour combler un manque que par réelle sensation de faim. Des moments comme ceux-ci, je les collectionne quasiment au point de pouvoir en tapisser les murs de ma chambre. L’impression que personne ne te comprend réellement dans ce monde où tout nous échappe, où tout bouge tellement vite, trop vite même. Et pourtant il faut survivre, se faire une place tant bien que mal, mais en a-t-on vraiment la 
Poussée à son paroxysme, la société de consommation nous autorise à acheter bon nombre de produits en tout genre. Quelque soit l’endroit, et ce même si votre compte est débiteur, vous pouvez payer avec votre Visa, votre Eurocard Mastercard ou encore votre American Express, que vous soyez à Manhattan ou à Shibuya. Magnifique invention de l’homme que fut la création de la monnaie par les premiers peuples grecs, n’est-ce pas ? Désormais les hommes allaient être divisés en deux catégories : les personnes possédant de l’argent et celles qui n’en ont pas. Et depuis, les multiples conflits mondiaux et nationaux ont une part de leur origine dans cette quête de possession de tout ce qui peut être assimilé à de la richesse : billets, pièces, or, argent, diamants, saphirs, rubis, émeraudes, platine et tant d’autres termes qui font scintiller nos yeux rien qu’à la vue de ces mots. L’avidité de la nature humaine pousse tout individu à s’enrichir, à dépenser, à acheter, à consommer, encore et toujours plus. Ce vice qui a motivé 

