Aujourd’hui la télévision suédoise diffusait un documentaire très intéressant sur l’origine de l’homosexualité. Car même si celle-ci a existé au sein de toute civilisation et à toute époque, sa perception a été de nombreuses fois l’objet de débats houleux et qui plus est, encore plus dans le cadre d’une élection présidentielle. La question demeure hautement délicate. Et pour comprendre la force des préjugés, il faut tout simplement remonter le temps. Il n’est pas pourtant pas nécessaire de se rendre à des siècles du nouveau millénaire. Avant même la Seconde Guerre Mondiale, lorsque Hitler arrive au pouvoir en 1933, il décide alors de purifier la race aryenne sous couvert de constats simples : les pédérastes nuisent à l’expansion démographique et sont féminisés, donc incapables de combattre et de défendre le Reich. Le régime nazi divise alors les homosexuels en deux groupes. D’un côté ceux dont la sexualité déviante serait innée et de l’autre côté, ceux sont la sexualité serait acquise donc « soignable ». Cette théorie appuyée sur des travaux médicaux d’avant-guerre avait eu pour conséquence Différence innée ou acquise
Aujourd’hui la télévision suédoise diffusait un documentaire très intéressant sur l’origine de l’homosexualité. Car même si celle-ci a existé au sein de toute civilisation et à toute époque, sa perception a été de nombreuses fois l’objet de débats houleux et qui plus est, encore plus dans le cadre d’une élection présidentielle. La question demeure hautement délicate. Et pour comprendre la force des préjugés, il faut tout simplement remonter le temps. Il n’est pas pourtant pas nécessaire de se rendre à des siècles du nouveau millénaire. Avant même la Seconde Guerre Mondiale, lorsque Hitler arrive au pouvoir en 1933, il décide alors de purifier la race aryenne sous couvert de constats simples : les pédérastes nuisent à l’expansion démographique et sont féminisés, donc incapables de combattre et de défendre le Reich. Le régime nazi divise alors les homosexuels en deux groupes. D’un côté ceux dont la sexualité déviante serait innée et de l’autre côté, ceux sont la sexualité serait acquise donc « soignable ». Cette théorie appuyée sur des travaux médicaux d’avant-guerre avait eu pour conséquence 


