
Par le passé, j’ai souvent fait ce rêve de rencontrer un garçon qui saurait m’apprécier pour ce que je suis, avec mes défauts et mes qualités. Avec qui refaire ce monde qu’il est parfois bien difficile de comprendre et dans lequel nous devons malgré tout évoluer. Il y a pourtant tant de petits gestes que nous pouvons tous réaliser, au quotidien, pour faire de ce monde un monde qui ressemble à ce que nous voudrions en faire. Ramasser le téléphone portable qu’une personne handicapée vient de laisser tomber parterre. Rattraper la jeune mère de famille qui vient de perdre son bonnet sur la chaussée, sans s’en rendre compte, en sortant d’un taxi avec ses deux enfants. Faire don de vêtements que l’on a trop peu porté pour qu’ils soient finalement plus utiles à des personnes qui en ont réellement besoin… Notre monde a besoin de plus d’amour et je souhaitais croiser la route de quelqu’un qui n’hésite pas à bousculer certaines de mes idées reçues en m’apportant sa vision personnelle des choses. In fine, …

Une journée chez Disneyland Paris en plein mois d’août est synonyme de nombreuses attractions, d’une foule intense, d’heures de queue interminables, de deux litres de Coca Cola, d’un litre de Vittel, de pleurs d’enfants, de menus « équilibrés » composés d’un trio très américain hot dog-pizza-hamburger, d’incalculables doigts de pieds écrasés, d’odeurs écœurantes de pop-corn et de sucre caramélisé et j’en passe encore beaucoup sous silence. Avec le temps qui passe et des yeux d’adulte, le parc semble tout de suite moins féerique, moins magique et bel et bien, moins enchanteur. On apprécie beaucoup plus Space Mountain, Big Thunder Mountain ou encore Indiana Jones et le Temple du Péril que les attractions qui nous faisaient autrefois rêver comme It’s a small world. La faute à qui, la faute à quoi ? Difficile d’y trouver une réponse nette, claire et précise, tant on ne parvient même pas à la trouver soi-même. Peut-être est-ce dû à ce côté si capitaliste du parc qui fait tout pour récupérer le moindre euro possible provenant du porte-monnaie et
Il y a des jours comme ça où tout semble ne pas sourire. Le ciel est gris, l’air est humide, la morosité t’envahit. Le téléphone portable présent sur le bureau reste désespérément muet et malgré tes appels, aucun de tes amis ne répond présent. Finalement, dans l’esprit de te changer les idées, tu prends ton courage à deux mains, ouvre votre parapluie et te rends au cinéma. Le cinéma, un des rares endroits où le rêve et le romantisme existent encore – à la sauce Hollywoodienne bien sûr. Qui n’a jamais rêvé de vivre des moments tels que Jack Dawson et Rose DeWitt Bukater, tous deux insouciants, brisant les interdits de l’époque, alors que leur paquebot s’apprête à couler ? Qui n’a pas frémi devant l’amour impossible auquel se livraient Roméo Montaigu et Juliette Capulet et qui se termine de manière si tragique ? Cette fois-ci, je décide de me rendre à la séance d’un film semi-biographique sur la vie de Jane Austen et d’une présupposée romance qui dura pendant sa vie entière. Et même 
