Le 14 juillet, comme chaque année, c’était la Fête nationale. De l’Arc de Triomphe à la Tour Eiffel, la Marseillaise a résonné plus d’une fois dans les rues ensoleillées de la capitale. J’appréciais à vélo cette insouciance qui caractérise si singulièrement l’été parisien. Les rues sont vides ou presque. Les places de stationnement ne sont jamais aussi faciles à trouver qu’au mois de juillet. On ne fait que rarement la queue dans les magasins. Les étudiants sont partis rejoindre leur famille en province ou ont pris l’avion pour des destinations plus ou moins lointaines afin de profiter de l’été. Les cours des écoles, collèges et lycées restent désespérément silencieuses. Et pour la troisième année consécutive, la météo s’est montrée relativement clémente et j’ai choisi de m’installer avec des amis sur la pelouse du Champ de Mars afin d’assister au feu d’artifice tiré depuis la Tour Eiffel. La soirée était belle et fraîche, ponctuée de rires et d’une forme de joie de vivre, si spécifique à la France. Une nouvelle fois, il a fallu qu’un illuminé
… Étiquette : Bisounours
Ce rêve bleu

En cette période morose qui n’en finit pas, je continue d’avoir un rêve ancré au fond de moi qui traverse les mois et les années. Ce rêve, il s’écrirait tout d’abord au pluriel. On pourrait d’ailleurs le comparer à un Disney d’une nouvelle génération dont le début serait marqué par l’ouverture inhabituelle d’un livre sur l’histoire de deux princes, pas forcément copiés sur des mannequins, mais ayant leur charme et la tête bien sur les épaules, conscients des réalités de la vie. Ils pourraient aussi bien se promener tranquillement pour aller au restaurant, au cinéma ou à l’opéra, s’affronter sur la qualité de la production ou s’entendre sur la nullité de celle-ci. Faire des courses et affronter le monde infernal des magasins pour finalement préparer sagement un dîner. Passer un jour férié entier à regarder des films téléchargés sans avoir envie de rien faire. Partir en vacances au soleil au bord de mer ou à la montagne. Et aux jours ensoleillés succèderaient des jours de pluie et d’orage où les disputes éclateraient pour un caleçon,
… Tout avait pourtant commencé par une souris

Et une Joyeuse Saint-Valentin

Amitiés particulières

Prends ma main, mon Prince

Dors mon petit Prince

Un soir, à Bruxelles. Un certain vendredi 16 mai 2008. Le temps s’est écoulé alors que ta main glissait rejoindre la mienne. Celles-ci semblaient ne pouvoir se séparer en aucun cas. Ces quelques instants de tendresse n’ont fait que coucher sur le papier le début d’une très belle histoire. Peut-être était-il trop tôt pour parler d’amour ou puisse-t-il n’y en avoir jamais entre eux deux, mais ce soir là, ils se retrouvaient l’un à côté de l’autre, c’était leur toute première fois. Puis, sans que ni l’un ni l’autre se sache pourquoi, leurs corps se sont rapprochés et leurs lèvres se sont rejointes. Personne n’aurait laissé penser que cette banale journée de visite de la capitale belge se serait terminée sur des notes d’amour que même les plus célèbres compositeurs et poètes n’avaient un jour imaginées. Si les flèches de Cupidon n’avaient pas encore transpercé le cœur de ses deux protagonistes, il n’en demeurait pas moins que leurs mots, leurs gestes et leur actes, témoignaient d’un respect mutuel, et sans doute d’une certaine forme d’attachement
… Applique de la crème solaire

Reprends donc une tasse de thé

Existence solitaire
